Vendredi 26 juillet à 20h: Breizh Disorder propose une soirée Punk-Rock !

Une soirée et trois groupes !

Lors de cette soirée, Breizh Disorder vous invite à découvrir ou bien revoir des groupes de la scène locale, mais aussi des invités venus de l’île de la réunion ! Au programme:

20h —> Martabaff: A 9h34 jour de l’an, dans un triste cabaret aux abords de Milan, l’oncle de quelqu’un s’est réveillé encore fumant se demandant pourquoi et comment il a fini là et surtout pourquoi il lui manque un doigt et la montre du grand père. Bien sûr, on s’en fout complètement. L’intérêt n’est pas de savoir ni même de questionner, à chaque con sa raison et le monde n’a pas besoin de ça à l’heure qu’il est.
A dire vrai, la seule chose dont le monde a vraiment besoin, c’est une méga baffe dans la tronche et quelle meilleure manière de « baffer » que de combiner l’effet « main dans ta gueule » a celle d’un marteau… imaginez le carnage !
Y a un truc dans la cave qui gît et s’enrage, qui pue et qui date pas d’hier.
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21h30 —> Urban Blaster: Urban Blaster, c’est un groupe né sous l’impulsion d’un manager sadique et narcissique, le bien nommé Ghetto Bestiole. Cette immonde créature machiavélique, incapable de faire de la musique et pourtant bien décidé à récolter les moissons du succès du Rock’n’Roll, a pris sous son aile cinq musiciens qu’elle maltraite, traumatise, et même torture, pour leur faire produire le meilleur d’eux-mêmes. Mue par l’envie de satisfaire leur tortionnaire, le groupe distille depuis quelques années dans le ventre de la riche scène extrême rennaise, un cru à la croisée entre groove metal, néo, thrash, hardcore et punk.

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23h —> Thee Orlando’s: Si le nom d’un groupe donne toujours une indication sur son identité, pour Thee Orlando’s, les pistes sont brouillées : ne cherchez pas l’hommage à la Floride, la source remonte à l’Egypte contemporaine, par le biais d’une vanne solidement capillo-tractée que nous ne dé- voilerons pas par respect pour les auteurs… Reste une ADN qui ne se dément pas : une mémoire pop qui caresse sa science mélodique pour mieux l’instiller dans une décharge d’électricité et d’énergie, un goût prononcé pour la claque sonore administrée avec une élégance qui rappelle inévitablement les ancêtres British. C’est tout le propos de Thee Orlando’s, faire vivre et donner sa propre couleur à un paysage rock déjà largement sillonné. Il suffit parfois de pas grand chose, la réunion de 5 personnes, une chanteuse à l’engagement irradiant, deux guitares précisément ourlées, une section rythmique indéfectible. Et c’est déjà beaucoup.

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Burger Maison sur place / PAF – 5 euros